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Prétox 2024

Les fêtes de fin d’année sont incontestablement la période où l’organisme est soumis à des excès. Une alimentation trop riche, une consommation d’alcool, des pics de glycémie, une fluctuation du poids, … Autant de changements d’hygiène de vie qui peuvent apporter leur lot de montagnes russes métaboliques, d’inconforts digestifs et d’impacts sur le sommeil et la gestion de l’humeur.

 

Tout le monde ne possède pas les mêmes capacités de stockage et d’élimination des déchets endogènes. Certains métabolismes ont tendance à accumuler des toxines, ce qui peut surcharger des organes d’élimination déjà affaiblis ou moins efficaces.
La période précédant les fêtes représente une opportunité idéale pour préserver les réserves d’énergie et éviter de débuter la nouvelle année en état de fatigue ou de sous-vitalité.

 

Explorons ensemble les moyens d’optimiser le fonctionnement des émonctoires, en mettant l’accent sur l’intestin, le foie et les reins.

  • Réduire l’accumulation des toxines avant une période sensible.
  • Identifier les piliers indispensables pour une prétox réussie.

L’exposition aux toxiques et toxines

Le processus physiologique de détoxification du corps humain repose sur plusieurs mécanismes pour neutraliser et éliminer les substances nocives. Les toxines peuvent provenir de sources internes (produits du métabolisme) ou externes (polluants, médicaments, alcool, additifs alimentaires).

 

Dans un monde de plus en plus industrialisé, une alimentation saine et équilibrée ne suffit plus à protéger notre organisme des toxines et des substances toxiques présentes dans l’environnement. Ces polluants, issus de l’air, de l’eau, des produits ménagers, ou encore des emballages alimentaires, s’infiltrent insidieusement dans notre quotidien. Bien que le corps humain possède des mécanismes naturels de détoxification, ces derniers peuvent être surchargés par une exposition constante à ces xénobiotiques, remettant en question l’idée qu’une bonne alimentation soit seule garante d’un organisme en équilibre.

 

La réponse de l’organisme à une substance toxique varie en fonction de plusieurs facteurs, notamment de la concentration de ce produit dans un tissu ou un organe donné. À chaque instant et à tous les âges de la vie, le corps humain est exposé à une toxicité constante, qu’elle provienne de sources internes ou externes. Cette exposition peut affecter différemment les individus en fonction de leur capacité à métaboliser et éliminer les toxines, soulignant l’importance de comprendre les mécanismes qui régulent leur accumulation et leur impact sur la santé.

Source : World Journal of Gastroenterology · June 2020.

 

Allez plus loin sur le sujet :

Sources : Toxicocinétique et métabolisme https://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/4820/?sequence=86

Sources : Xenobiotic transport and metabolism in the human brain https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34371026/

RENFORCER LES CAPACITÉS DE DÉTOXIFICATION

Quelles stratégies pour soutenir son système naturel de défense :

Les fêtes de fin d’année, avec leurs repas copieux et riches, sont souvent synonymes d’excès alimentaires qui sollicitent fortement les organes d’élimination tels que le foie, les reins et le système digestif.

 

Soutenir les fonctions naturelles d’élimination en amont, semble la meilleure stratégie pour traverser cette période d’excès. Evitant ainsi de trop perturber les émonctoires mais aussi le système immunitaire, hormonal et psychique.

 

La notion de “prétox” s’impose comme une démarche préventive essentielle pour préparer l’organisme. Contrairement à une détox, qui vise à éliminer les toxines après les excès, la prétox consiste à soutenir activement les organes d’élimination en amont.

 

Les objectifs étant de limiter l’impact des sollicitations alimentaires et alcoolisées sur l’organisme et de préparer le travail émonctoriel.

Une préparation de 8 à 10 jours minimum peut déjà donner des résultats selon l’alimentation et l’hygiène de vie.

 

Une bonne prétoxication n’est pas censée être un choc intense pour l’organisme et s’accompagne de pôles essentiels :

  • Alimentation équilibrée et antioxydante
  • Exercice physique modéré
  • Temps de sommeil récupérateur
  • Bonne hydratation

 

Les erreurs à ne pas commettre : pratiquer une période de jeune ou une alimentation restrictive qui risque d’induire une frustration ou de trop grands écarts alimentaires.

Le potentiel de la chlorella

Cet être unicellulaire, à l’origine à la fois du monde animal mais aussi végétal suscite beaucoup de curiosité.

 

Faisant partie du phytoplancton, elle est l’un des végétaux le plus étudié au monde ces cinquante dernières années. Pourtant, les scientifiques sont bien loin de pouvoir expliquer tous les effets de cette algue.

 

Source d’éléments nutritifs essentiels : protéines (60% : acides aminés essentiels ou non), vitamines (A, B, C et E), acides gras essentiels non saturés, minéraux (fer, calcium, magnésium, zinc, potassium, soufre, manganèse), la chlorella est aussi l’un des végétaux les plus riches en chlorophylle et en vitamine B12.

 

Elle soutient le foie dans ses fonctions de détoxification grâce à ses propriétés antioxydantes et régénératrices. Les caroténoïdes, la chlorophylle et la lutéine qu’elle contient combattent le stress oxydatif. Des études montrent qu’elle aide également à améliorer la sensibilité à l’insuline et à réduire les taux de cholestérol LDL (1).

Elle contient des fibres et des protéines capables de se lier aux métaux lourds comme le mercure, le plomb et le cadmium, facilitant leur élimination de l’organisme.

 

Ses fibres et polysaccharides agissent comme des chélateurs, fixant les toxines pour leur excrétion dans les selles. En outre, la chlorella stimule les mécanismes antioxydants du foie en favorisant l’expression d’enzymes de détoxification via la voie Nrf2 et en augmentant les niveaux de glutathion, puissant antioxydant produit par le foie.

 

Elle a démontré une capacité à atténuer les effets toxiques de certaines substances environnementales, notamment en réduisant le stress oxydatif et en améliorant la réponse métabolique.

 

Des études récentes (2) montrent que la chlorella pyrenoidosa peut activer le facteur de transcription Nrf2, essentiel à la régulation des systèmes antioxydants du corps et des enzymes de détoxification, notamment dans le foie. La voie Nrf2 est responsable de l’expression de gènes codant pour des enzymes comme l’hème-oxygénase-1 (HO-1), qui neutralisent les radicaux libres et protègent les cellules contre les dommages oxydatifs.

 

Une autre étude (3) a démontré que l’administration de chlorella chez des rats exposés à des toxines telles que le cadmium augmentait significativement l’expression de Nrf2 et de HO-1, réduisant ainsi le stress oxydatif et les dommages hépatiques. Ces effets protecteurs sont attribués aux propriétés antioxydantes de la chlorella, grâce à ses composés bioactifs tels que la chlorophylle et les caroténoïdes. La modulation de la voie Nrf2 par la chlorella semble également jouer un rôle dans la restauration de l’homéostasie cellulaire et dans la réduction de l’inflammation causée par les toxines.

L’aloe vera, un remède aux multiples actions

L’aloe vera offre de multiples bienfaits pour le système digestif et peut également jouer un rôle clé dans une démarche de prétox, en amont des excès alimentaires.

 

Riche en eau et en électrolytes, elle aide le corps à éliminer les déchets accumulés en stimulant les reins et en évitant la rétention d’eau. Sa teneur en vitamines (notamment A, C, et E) et en acides aminés renforce les mécanismes de défense contre les radicaux libres, limitant ainsi l’impact des toxines. Les composés phytochimiques de l’aloe vera favorisent les fonctions du foie, organe clé dans l’élimination des toxines (4).

Principes actifs :

  • Tanins aux propriétés astringentes, antioxydantes et détoxifiantes
  • Enzymes dont la bradykinase, enzyme anti-douleur
  • Aloïne aux vertus purgative, stomachique et cholagogue
  • Aloïsides (structure comparable aux neurotransmetteurs)
  • Vitamines B12, C, E, choline, inositol, niacine
  • Minéraux (Ca, P, Mg, K, Fe, Na, Mn, Cu, Cr, Zn, Cl, Se)
  • 18 acides aminés dont les essentiels et acides gras essentiels

Propriétés du jus d’aloé-vera :

  • Antibiotique, anti-inflammatoire et régénérant des tissus
  • Favorisation du drainage et de l’élimination des toxines
  • Régulation du PH gastro-intestinal
  • Augmentation du volume des selles
  • Réduction de population de certains microorganismes pathogènes ou déséquilibrés dans le microbiote intestinal
  • Nettoyage des intestins

Selon une étude publiée dans Molecules (5), sur l’hépatotoxicité induite par le chrome, les polysaccharides et anthraquinones (comme l’aloe-emodine) présents dans l’aloe vera montrent des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires, réduisant les dommages oxydatifs au foie causés par des toxines ou des métaux lourds.

ÉQUILIBRER ET NETTOYER LE CORPS

Se préparer pour la période de fêtes, où la consommation calorique est souvent élevée (sucre, gras, alcool), n’implique pas uniquement un drainage émonctoriel, mais aussi une relance du métabolisme de manière générale.

 

En effet, un soutien du métabolisme aide à mieux gérer ces apports en excès en optimisant la dépense énergétique au repos et en réduisant le risque de stockage des graisses. En outre, il permet de préparer le système digestif, de mieux gérer les variations de glycémie et la métabolisation des lipides et de prévenir les risques d’inflammation en lien avec une hyper-acidification et une production accrue de radicaux libres.

 

Une approche proactive, incluant une alimentation équilibrée, des compléments ciblés (co-facteurs métabolique, vitamine D, oméga-3, magnésium, pro- et prébiotiques, antioxydants) et une activité physique régulière, peut grandement améliorer le bien-être pendant et après cette période festive.

 


N’oublions pas l’importance des vitamines du groupe B qui interviennent dans les différentes étapes métaboliques et enzymatiques essentielles pour l’élimination des toxines.
Prémunir des carences éventuelles en vitamines du groupe B favorise l’optimisation d’une prétoxication efficiente.


 

 

Les paramètres clés à considérer afin d’évaluer le bon fonctionnement métabolique sont les suivants :

  • Énergie et vitalité de la personne
  • Bilan micronutritionnel (carences potentiels)
  • Poids corporel et répartition de la masse corporelle
  • Gestion des lipides et du cholestérol
  • Équilibre glycémique
  • Fonction thyroïdienne
  • Inflammation systémique
  • Capacité de détoxification et d’élimination des toxines

Le potentiel de la bromélaïne

La bromélaïne est reconnue pour ses qualités anti-inflammatoires et constitue aussi un allié précieux au niveau du soutien métabolique. En effet, ce complexe d’enzymes protéolytiques extrait de la tige d’ananas, offre des propriétés digestives et détoxifiantes :

  • Optimise les fonctions enzymatiques digestives et soulage le travail des organes de détoxification comme le foie, les reins et le pancréas.
  • Améliore la capacité d’élimination des toxines.
  • Joue rôle dans la modulation de l’inflammation : diminution des interleukine-6 et TNF-α.
  • Draine les déchets inflammatoires produits par l’organisme.
  • Aide à la digestion des protéines complexe en facilitant la dégradation de la gliadine (protéine du gluten). (6)

Action fibrinolytique et anti-œdémateuse : diminution des ballonnements et/ou de rétention d’eau (permet la résorption du fluide de l’œdème dans la circulation sanguine générale).

 

Dave et al. ont montré que la bromélaïne inhibe la différenciation des adipocytes in vitro en réduisant l’expression des gènes adipogéniques et en induisant l’apoptose des adipocytes matures (7).

 

L’absorption gastro-intestinale de la bromélaïne après administration orale est de 40 % ; elle a une demi-vie d’environ 6 à 9 heures. La posologie thérapeutique de la bromélaïne chez l’adulte est généralement considérée comme étant de 250 à 2000 mg/jour, à répartir en 2 à 3 prises quotidiennes.

Le potentiel de la curcumine

La curcumine, principal composé actif du curcuma, possède de puissantes propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires qui en font un allié de choix pour protéger le corps avant et après une intoxication métabolique, comme celle liée aux excès alimentaires ou alcooliques. Elle neutralise les radicaux libres et réduit les marqueurs inflammatoires, limitant ainsi les dommages cellulaires et tissulaires.

 

Les études précliniques suggèrent que la curcumine a la capacité d’inhiber la synthèse des acides gras et de réduire les réserves de graisses (8).
Une étude randomisée en double aveugle, réalisée en 2012 par Chuengsamarn et al. (9) a montré que la supplémentation en curcumine a permis de réduire significativement les chances de développer un diabète de type 2. Ils ont observé une amélioration des cellules β (augmentation de HOMA-β, diminution du C-peptide, réduction du niveau de HOMA et augmentation de l’adiponectine) chez 240 sujets prédiabétiques ayant reçu un supplément de curcumine pendant 9 mois.

 

Sur le plan hépatoprotecteur, la curcumine soutient la détoxification du foie en favorisant l’activité des enzymes antioxydantes et en réduisant le stress oxydatif au niveau hépatique, essentiel pour un foie sollicité par les excès.

 

De plus, ses propriétés anti-athérosclérotiques aident à prévenir l’accumulation de graisses dans les artères en modulant les niveaux de cholestérol et de triglycérides, tout en améliorant la circulation.

Le nutribiote base un allié prétox de taille !

Le nutribiote base est une nutribiotique issu de la fermentation de la betterave riche en micronutriments essentiels, hautement assimilables par l’organisme. L’objectif de cette fabrication unique en 3 étapes est de libérer des vitamines, des acides aminés essentiels et enzymes et d’augmenter leur biodisponibilité.

 

Le nutribiote base est naturellement riche en bétaïne, en acides gras à chaines courtes (butyrate, acétate et propionate), en magnésium, en vitamines B, en acides aminés, en fibres prébiotiques ; par conséquent, il s’impose comme un atout bien-être essentiel avant, pendant et après les fêtes. En plus de son aspect reminéralisant, il va favoriser l’élimination des toxines en activant la détoxification hépatique, une meilleure digestion des graisses et la régulation du transit (amélioration de la vidange du côlon) et de la flore intestinale.

 

La bétaïne, plus spécifiquement, va aussi agir afin de prévenir les pathologies hépatiques et de renforcer l’intégrité de la paroi intestinale. La bétaïne est formée à partir de la glycine et de trois groupes méthyles, et elle agit comme un donneur de méthyle efficace pour le cycle méthionine-homocystéine. Des études réalisées sur des modèles animaux ont montré que la bétaïne, en tant que lipotrope, peut réduire l’accumulation de graisse dans le foie chez les personnes atteintes de foie gras non alcoolique (NAFLD), en augmentant l’oxydation des acides gras libres et en réduisant la lipogenèse (10).

 

La supplémentation en bétaïne peut prévenir l’épuisement du glutathion et de la cystéine induit par l’alcool dans les hépatocytes, améliorant ainsi la protection antioxydante de ces cellules et facilitant la détoxification hépatique (notamment la phase 2) (11). Dans une étude randomisée en double aveugle menée par Rajdl et al. (12), 117 volontaires masculins ont consommé 375 mL de vin blanc par jour pendant un mois. Ils ont été divisés de manière aléatoire en 5 groupes. Le premier groupe a uniquement reçu du vin blanc. Les autres groupes ont associé le vin avec d’autres compléments (acide folique, bétaïne, et vitamines B12 ou B6). Dans le groupe ayant consommé de la bétaïne avec le vin, les effets indésirables d’une consommation modérée d’alcool ont été atténué en réduisant les niveaux d’homocystéine.

 

En conclusion, la bétaïne agit en tant qu’équilibrant du métabolisme, en tant que détoxifiant et en tant que réparateur. Dans le nutribiote base, la bétaïne est directement biodisponible et hautement assimilable par l’organisme (99,6%) grâce au processus de fabrication PIANTO en 3 étapes.

APPROCHE NATURELLE

Suggestions de protocoles

 

Les fêtes de fin d’année peuvent s’accompagner d’inconforts tels que ballonnements, digestion difficile ou sensation de fatigue accrue.
La gemmothérapie et les outils phytothérapeutiques offrent des solutions naturelles pour réduire ces désagréments, augmenter les niveaux d’énergie et améliorer le confort digestif.

https://cdn-icons-png.flaticon.com/512/18/18560.png Aucun niveau de consommation d'alcool n'est sans danger

 

L’alcool, même consommé modérément, peut perturber la composition et la diversité du microbiote intestinal. Une consommation régulière peut réduire la diversité bactérienne et endommager la barrière intestinale, favorisant ainsi la perméabilité intestinale. Une porte ouverte aux toxines et agents pathogènes afin de pénétrer dans le système sanguin, contribuant à l’inflammation et à des troubles métaboliques.

 

L’alcool affecte également le système hormonal, en perturbant les fonctions du foie, qui joue un rôle central dans la régulation hormonale. Il peut influencer la production de cortisol (l’hormone du stress) et perturber les hormones sexuelles (œstrogènes et testostérone). De plus, les métabolites de l’éthanol interfèrent avec les signaux hormonaux, augmentant les risques de dysfonctionnement métabolique et de maladies associées​.

 

Ces effets montrent que même des quantités minimes d’alcool, consommées régulièrement, peuvent entraîner des conséquences significatives sur la santé intestinale et endocrinienne, mettant en évidence l’importance de limiter sa consommation.

  • Une étude clinique pointe le rôle du microbiote dans la consommation d’alcool

Une équipe de chercheurs de l’Université Complutense de Madrid (13) s’est intéressée au rôle que le microbiote intestinal pouvait potentiellement jouer dans la consommation d’alcool.

 

Selon les résultats, « une forte consommation épisodique d’alcool est associée à un phénotype de type de selles », le phénotype de type 1 plus précisément. En d’autres termes, cela signifie qu’une forte consommation d’alcool a été associée à la constipation. Par ailleurs, les chercheurs ont également observé une forte augmentation de l’abondance des Actinobactéries chez les personnes consommant régulièrement et en grande quantité de l’alcool.

 

Parcourir l’étude complète : Ferrer-Pérez, C., et al. (2022). Gut microbiota and voluntary alcohol consumption. Current Opinion in Pharmacology, 66, 102235.


 

Sources :

(1) Ebrahimi-Mameghani, M., Aliashrafi, S., Javadzadeh, Y., & Asghari Jafarabadi, M. (2014). The effect of Chlorella vulgaris supplementation on liver enzymes, serum glucose, and lipid profile in patients with non-alcoholic fatty liver disease. Health Promotion Perspectives, 4(1), 107–115. DOI:

(2) Zhao, L., Wang, Y., Yu, S., & Zhang, Q. (2020). Benefits of Chlorella vulgaris against Cadmium Chloride-Induced Hepatic and Renal Toxicities via Restoring the Cellular Redox Homeostasis and Modulating Nrf2 and NF-KB Pathways in Male Rats. Antioxidants, 11(9), 2414.

(3) Sies, H., & Jones, D. P. (2020). Nrf2 and Oxidative Stress: A General Overview of Mechanisms and Implications in Human Disease. Antioxidants, 11(12), 2345.

(4) Kumar, A. Pandey, & A. K. Tiwari. (2023). A comprehensive review of Aloe vera: Multifaceted health benefits and anti-diabetic properties. ResearchGate.

(5) Liu, C., Cui, Y., Pi, F., Cheng, Y., Guo, Y., & Qian, H. (2019). Extraction, Purification, Structural Characteristics, Biological Activities and Pharmacological Applications of Acemannan, a Polysaccharide from Aloe vera: A Review. Molecules, 24(8), 1554.

(6) Masoumeh Sadat Mousavi Maleki et al. Bromelain-loaded nanocomposites decrease inflammatory and cytotoxicity effects of gliadin on Caco-2 cells and peripheral blood mononuclear cells of celiac patients. Sci Rep. 2023 Dec 1.

(7) Sandeep Dave. Inhibition of adipogenesis and induction of apoptosis and lipolysis by stem bromelain in 3T3-L1 adipocytes. PLoS One. 2012;7

(8) Giulia Fiore et al. Bioactive compounds in childhood obesity and associated metabolic complications: Current evidence, controversies and perspectives. Pharmacological Research. Volume 187, January 2023.

(9) Chuengsamarn Somlak et al. Curcumin Extract for Prevention of Type 2 Diabetes. Diabetes Care, 35 (2012), pp. 2121-2127.

(10) Weiqiang Chen et al. Effects of betaine on non-alcoholic liver disease. Nutr Res Rev. 2022 Jun;35(1):28-38.

(11) Rehman, A.; Mehta, K.J. Betaine in ameliorating alcohol-induced hepatic steatosis. J. Nutr. 2022, 61, 1167–1176.

(12) Daniel Rajdl et al. Effect of Folic Acid, Betaine, Vitamin B6, and Vitamin B12 on Homocysteine and Dimethylglycine Levels in Middle-Aged Men Drinking White Wine. Nutrients 2016, 8, 34.

(13) Ferrer-Pérez, C., et al. (2022). Gut microbiota and voluntary alcohol consumption. Current Opinion in Pharmacology, 66, 102235.


 

Document réservé à l’usage des praticiens de santé.