Depuis 250 millions d’années, le Ginkgo biloba, mémoire végétale et phénix protecteur a tout supporté, tout subi, et a survécu à toutes les catastrophes naturelles et historiques.
Lors de l’explosion de la bombe d’Hiroshima en 1945, ce grand arbre était réduit en cendres à l’exception d’une minuscule pousse.
Aujourd’hui, ce même Ginkgo est un arbre de belle taille.
Ce fossile vivant est un témoin exceptionnel de l’évolution de la planète.
C’est dans les vallées profondes de Chine que l’on trouve les plus anciens ginkgos âgés de 4000 ans.
Cet arbre, le plus vieux du monde, se singularise par une exceptionnelle résistance à la pollution atmosphérique qui lui vaut d’être choisi par les urbanistes pour agrémenter les villes.
L’arbre aux 40 écus (prix payé par le premier “importateur” ou feuillage d’or de cet arbre en automne) souscrit lui aussi, à la fameuse “théorie des signatures” : le dessin de sa feuille bilobée paraît calquée sur celui de la circulation.
Les moines bouddhistes firent une place de choix à cet arbre sacré de longue vie pour leur préparations tenues secrètes.
La science n’a pas encore épuisé toutes les vertus de cet arbre légendaire.
Il contribue à un bonne mémoire et circulation.