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L’été est là, allant souvent de paire avec l’envie de se sentir mieux dans son corps et à perdre les kilos accumulés.
La perte de poids semble être une préoccupation qui n’est pas neuve et, pourtant, de récentes études nous révèlent des informations plus méconnues.

 

Et si nous vous disions qu’il s’agit parfois d’actionner les bons leviers et surtout d’arrêter de penser qu’une restriction calorique suffit.

 

Très souvent, cette méthode n’engendre que des frustrations et, finalement, pousse le corps à retrouver son poids d’avant, sorte de mémoire cellulaire.
La prise de poids n’est pas nécessairement la conséquence d’une alimentation trop riche et d’excès. Les causes sont multiples et requièrent une attention particulière afin de trouver une cure adaptée à chacun.
L’important sera de voir cette perte de poids dans sa globalité et bien comprendre les contre alliés minceur pour y apporter des solutions efficaces et durables.

 

De quoi parle-t-on exactement ?
Découvrez ce qui vous empêche d’atteindre vos objectifs et comment vous accompagner avec des solutions naturelles.

Le stress ennemi public numéro 1

Le stress peut parfois sembler avoir bon dos, tel un bouc émissaire désigné dans chaque mauvais coup.
Et pourtant son impact est très important dans la perte de poids.

 

Le stress prolongé fait prendre du poids car il engendre une augmentation du taux de cortisol qui provoque le stockage de graisse (surtout abdominale).
Ce cortisol modifie également notre appétit qui devient plus important et oriente nos choix alimentaires vers des produits plus gras et sucrés.

 

Quel est le lien entre cortisol et gestion du sucre ?

 

« Le cortisol est l’hormone du stress. Quand vous êtes stressé·e, vous sécrétez davantage de cortisol. Le cortisol favorise la fabrication de glucose au niveau du foie, ce qui libère du glucose dans le sang. Ce mécanisme est très logique : quand le corps considère qu’il y a un danger potentiel, il sécrète du cortisol qui stimule la libération des glucides stockés dans le foie. Ces glucides permettent d’avoir du glucose dans le sang et ce glucose va nourrir les cellules musculaires pour leur permettre d’être plus efficaces s’il faut se battre ou fuir devant ce danger potentiel.

Mais il n’y a pas de « danger », vous n’allez ni combattre ni fuir. Donc le sucre libéré dans le sang ne va pas être utilisé par les cellules musculaires. Et quand il y a trop de sucre dans le sang, le pancréas sécrète de l’insuline pour faire redescendre ce taux de glucose sanguin. Je vous ai déjà parlé de l’insuline : elle stimule également le stockage des graisses !

Voilà pourquoi et comment un régime restrictif favorise le stockage des graisses… »*

 

Notons aussi que le stress augmente notre taux de ghréline (hormone de la faim) et qu’il épuise souvent nos réserves de magnésium.

 

*Extrait du livre « Les 7 lois de la minceur » Marie-Laure André. Éditions Leduc.

Sérotonine et envie de sucre

Un stress prolongé implique un taux de cortisol qui grimpe – plus il est haut, plus le taux de sérotonine baisse.

 

La sérotonine est un neurotransmetteur aussi appelée “hormone du bonheur“.
Avec un taux adéquat, elle permet un comportement calme, prudent, réfléchi.

 

Carencée, c’est une autre histoire, la personne devient irritable, impulsive, tendue, avec un moral en baisse allant parfois vers des comportements compulsifs ou addictifs.
Étant donné qu’elle joue sur l’humeur et la gestion des émotions, elle intervient également dans la souffrance morale et la dépression.

 

Dans le cadre d’une difficulté à perdre du poids, cette sérotonine en baisse va directement impacter les envies/compulsions alimentaires de sucre, de chips ou encore d’alcool.
Une personne qui est incapable de se passer d’un aliment spécifique/ou d’un verre d’alcool en fin de journée en rentrant du travail peut être le reflet d’un manque de sérotonine.

 

Elle est également synthétisée à partir du même précurseur que la mélatonine :
le tryptophane.

 

Elle joue donc un rôle important dans l’endormissement et la capacité pour l’organisme d’avoir un sommeil récupérateur.

 

90% de la sérotonine est produite à partir des intestins.


COMMENT SAVOIR SI J’AI UNE BAISSE DE SÉROTONINE ?

 

Plusieurs tests/questions peuvent mettre en lumière une baisse de sérotonine.

Voici déjà quelques points d’attention :

  • J’ai un temps de réaction qui est ralenti
  • J’ai un faible sens de l’orientation
  • J’ai des sueurs nocturnes et de l’insomnie
  • Je me lève toujours tôt le matin
  • Je ne sais pas me détendre
  • Il est difficile pour moi de me rendormir une fois que je suis réveillée
  • J’ai des envies importantes de salé
  • J’ai le moral en berne
  • J’ai de l’anxiété chronique
  • Je suis facilement irritable
  • J’ai tendance à être obnubilées par certaines pensées

Si vous avez un doute, consultez votre praticien de santé. Il/elle sera à même de rassembler les informations et proposer les solutions adaptées.

Certaines plantes agissent favorablement sur la production de sérotonine : le MILLEPERTUIS, la PASSIFLORE, la GENTIANE, le SAFRAN,…


 

Le microbiote intestinal

Le rôle du microbiote intestinal dans la prise de poids et l’obésité a récemment été mis en évidence. Depuis plusieurs années, les scientifiques s’intéressent au lien entre microbiote intestinal et surpoids ou obésité.

 

Des études montrent que les personnes obèses présentent un profil de microbiote intestinal particulier.
Plus précisément, des études effectuées chez l’Homme associent l’obésité à une faible diversité bactérienne : les individus qui présentent un microbiote pauvre (peu diversifié) présentent une adiposité et un surpoids plus prononcés.

Le microbiote pourrait être impliqué dans notre métabolisme énergétique : les bactéries intestinales, en dégradant les résidus de nos aliments, pourraient fournir de l’énergie à notre organisme.

 

Par ailleurs, les bactéries du microbiote sécrètent diverses molécules qui influencent la prise de poids, le stockage des graisses, mais aussi notre appétit et la prise alimentaire.

Si le microbiote intestinal est déséquilibré, l’intestin produira trop peu de propionate et donc de leptine, l’hormone de la satiété.

 

Gardez un œil sur son frigo, son assiette, son activité, oui … Mais gardons aussi un œil sur notre microbiote.

 

Notre sélection :

PERMÉABILITÉ INTESTINALE

FLOREMINCE

Une thyroïde qui tourne au ralentit

La thyroïde est une petite glande que nous avons à la base du cou et qui produit les hormones thyroïdiennes. Cette glande est le chef d’orchestre de notre système endocrinien et de notre métabolisme : température corporelle, agit sur notre humeur, sur le rythme cardiaque, la digestion, le système nerveux…

 

Elle peut s’emballer (on parle d’hyperthyroïdie) ou au contraire devenir paresseuse (on parle d’hypothyroïdie).

 

La thyroïde est très sensible et se dérègle facilement en cas de carence en iode, en vitamine D, en zinc… et les régimes restrictifs ont aussi tendance à la perturber : le corps qui ne reçoit plus suffisamment de calories se protège, la thyroïde réagit en réduisant la sécrétion des hormones thyroïdiennes (T3 et T4), ce qui crée une hypothyroïdie.

 

En cas de déficit en magnésium par exemple, nous perdons nos capacités à produire de l’énergie de façon optimale, ce qui conduit à plus de fatigue et à une modification de nos comportements alimentaires en faveur d’aliments « réconfortants ».
Il est important d’éviter les carences en mico-nutriments et de ne manquer d’aucun cofacteur afin que notre thyroïde fonctionne correctement.

 

Lorsqu’une personne fait une réforme alimentaire, pratique une activité physique régulière et que sa perte de poids continue de stagner, il peut être intéressant d’aller explorer la piste d’un dérèglement de la thyroïde.

 

Notre sélection :

TYROSINE ACTIVÉE

TIRORÉGULATION

NOTRE SÉLECTION

  • MINCEUR
    Agit comme une synergie et aide à stimuler les fonctions d’élimination.
    Cette formule combine des principes actifs aux vertus dépuratives, stimulantes et stomachiques.
  • SILHOUETTE
    Soutient du nettoyage du tractus intestinal.
    Un bon transit favorise une bonne assimilation des nutriments, limite la sensation de gaz et ballonnements. Un bon départ pour atteindre l’objectif ventre plat.
  • CHROME
    Le chrome est un oligoélément qui contribue au maintien d’une glycémie normale. En tant que cofacteur de l’insuline, il peut améliorer la glycémie.
    Le chrome aide à la gestion du poids en lissant les pics d’insuline et les niveaux de sucre dans le sang.
    Il temporise également les compulsions alimentaires et régule l’appétit.
  • DRAINEUR GÉNÉRAL
    Drainage et purification
    des 5 organes d’élimination (émonctoires) en même temps afin d’éliminer les toxines et toxiques de l’organisme.
    En évacuant ces déchets, ils garantissent l’équilibre métabolique, hormonal et immunitaire.
    Il est donc important d’en prendre soin et de trouver des moyens naturels de les stimuler et de les désengorger.

 

  • THÉ VERT
    Le thé vert contribue au contrôle du poids et du métabolisme des lipides.
    C’est un très bon allié puisqu’il participe à l’augmentation de la thermogenèse «brûle-graisse » et favorise l’élimination rénale de l’eau.

Le saviez-vous ? Fuir le gras, la mauvaise idée

Le gras, c’est la vie ! Oui oui c’est étonnant lorsque l’on souhaite perdre du poids mais miser sur un bon apport d’acides gras de qualité.

 

Les Oméga 3 assurent une bonne fluidité membranaire, favorise la communication entre les neurones et une bonne production des hormones.

Responsable aussi du déstockage, il est important de veiller à rétablir le ratio oméga-6 (très présents dans l’alimentation moderne et transformées) et oméga-3.
Un bon équilibre limite l’inflammation de l’organisme et améliore son profil lipidique.

Les Oméga 3 peuvent aider à mobiliser les graisses et les utiliser comme source d’énergie pour être brûlées. Ces acides gras polyinsaturés sont essentiels à la perte de poids.

 

Une belle dose tous les jours en variant les apports : du bon beurre de qualité, du ghee (beurre clarifié), de l’huile d’olive, de lin, de colza, de noix, …
Limitez/supprimez les produits transformés (plats tout faits, biscuits, pâte à pizza, … trop riche en huile de tournesol-Oméga6).

Consommez des petits poissons gras 1 à 2 x/semaine – petite astuce à retenir pour les poissons les plus riches SMASH : sardine, maquereau, anchois, saumon et hareng.

Si vous avez du mal, une boîte de haricots blancs (vider le jus et rincer) dans un mixeur avec le poisson que vous voulez, un filet d’huile d’olive et le tour est joué ! Une tartinade toute prête, onctueuse et facile à consommer.

Quelques conseils à adopter

  • Éviter les restrictions alimentaires qui provoquent des carences et pousse à la frustration. Viser une alimentation hypotoxique (et pas hypocalorique).
    Il s’agit de mieux manger et non de moins manger.
  • Boire, boire, boire ... de l’eau bien entendu.
    Idéal pour favoriser le drainage des tissus et tendre à évacuer les déchets de l’organisme.
  • Accompagner votre perte de poids avec une activité qui vous fait du bien :
    aller marcher après le repas, une balade en famille, …
    Dans tous les cas, la sédentarité est l’ennemie de la perte de poids.
  • Une bonne dose de graisses riches en oméga 3 et des oléagineux qui aident à réguler le poids.
  • Prenez soin de vos intestins et de votre thyroïde.
  • Limiter la consommation de sucre (surtout raffiné).
  • Favoriser des activités qui vous détendent et prenez soin de la gestion de votre stress.
  • Penchez-vous sur la chrononutrition, sujet passionnant qui invite à donner au corps ce dont il a besoin au bon moment de la journée. Parfois il suffit juste de garder les mêmes aliments mais changer : celui-ci plutôt le matin pour accompagner la dopamine, celui-là plutôt à 16h pour favoriser le sommeil (mélatonine), …

Les suggestions évoquées sont indiquées à titre préventif pour leur action adaptative et immunitaire.

Il est important de collaborer avec le médecin traitant.