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En 2021, environ 770.000 belges sont traités par médicament pour un diabète, soit 6.8% de la population.
Et ce chiffre ne cesse d’être en augmentation.

 

En cause : la surconsommation de sucres (sous toutes ses formes), les graisses saturées en excès, et la sédentarité.
Le trio gagnant pour épuiser l’organisme avec des yoyos constants pour gérer des apports dont il ne sait plus quoi faire.

Qu’est-ce que le diabète ?

Le diabète est un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportées par l’alimentation. Il se caractérise par un taux de glucose dans le sang (glycémie) trop élevé.

 

On distingue principalement le diabète de type 1 et le diabète de type 2 (92 % des diabétiques).
Du fait de la gravité de ses conséquences, de son importante prévalence et de sa croissance à une allure épidémique, le diabète de type 2 constitue un enjeu majeur de santé publique.
Dans le domaine de la santé, on parle même d’une « urgence sanitaire à l’échelle mondiale ».

 

Son installation progressive et insidieuse est précédée d’une phase de prédiabète dans laquelle se situe déjà des millions de personnes.
Rien qu’en Belgique, en 2019, on estime que 374 millions de personnes âgées de 20 à 79 ans souffraient de prédiabète.

La grande famille des glucides

Les glucides constituent l’une des 3 grandes familles des macronutriments essentiels pour le bon fonctionnement du corps humain. Ils font partie de la grande famille
des « sucres » et sont une des sources principales d’énergie.
Le glucose, en particulier, est une source d’énergie pour le cerveau et les muscles.

 

Leur nom se terminent majoritairement par « ose » : glucose, fructose, lactose, …
Il en existe trois catégories : glucides simples, doubles et complexes.

 

S’il fallait simplifier les choses, plus il est simple, plus il est facile à digérer.
La digestion des glucides complexes implique un processus plus lent et plus complet de digestion.

 

Lorsque l’on parle de sucre, les sucres ajoutés, les confiseries ou encore les boissons sucrées viennent tout de suite à l’esprit. Mais ceux-ci sont aussi présents naturellement dans certaines aliments tels que les fruits ou les produits laitiers.

 

Source du graphique : École alimentation vivante et durable (EAVD).

Rôle principal des glucides = fournir de l’énergie

Chez un individu sain, l’insuline, sécrétée par le pancréas, permet l’utilisation du sucre par les cellules et/ou son stockage (si le sucre est présent en excès).
Le corps se dit que ce sucre lui servira peut-être plus tard et il le stocke (dans le foie et dans les muscles) sous forme de glycogène.

 

Lorsque le taux de glucose est en excès dans le sang, l’insuline va stocker le sucre dans les cellules graisseuses (les adipocytes) sous forme de lipides (triglycérides).

 

Chez une personne atteinte de diabète de type 2, l’insuline perd d’abord de son efficacité (ou de sa sensibilité), on parle alors de résistance à l’insuline. Mais dans un premier temps, l’organisme réagit à cette situation et compense en sécrétant une quantité d’insuline plus importante. Cette surproduction d’insuline va d’ailleurs augmenter le stockage de gras dans le tissu adipeux (et épuiser la pancréas sur le long terme).

 

C’est la porte ouverte au diabète qui s’installe de façon pérenne, aux risques de maladies cardio-vasculaires, de surpoids et d’obésité, l’acidification du terrain et le nid de maladies/pathologies inflammatoires, telle que le Nash (qui impacte le foie), …

La coupe (de glucides) est pleine !

 

Le principal problème : la consommation excessive de sucres – et de façon constante.

 

Certains praticiens s’avancent même en disant que la grande majorité de la population est en constante consommation d’aliments de la famille des glucides tout au long de la journée.
En gros, nous en mangeant toute la journée !

 

L’organisme s’épuise avec une sécrétion d’insuline trop régulière et trop importante, sans jamais aucun répit.
Aliments à index glycémique élevé, trop de féculents, de sucres rapides, d’aliments soufflés, de boissons sucrées, …

 

Les ennemis publics :

  • Les aliments transformés et à indice glycémiques élevés
  • Le déficit en Magnésium
  • L’inflammation de bas grade (et la production de radicaux libres)
  • Le stress
  • Le déficit en sommeil
  • La sédentarité

 

Fort heureusement, la résistance à l’insuline n’est pas un phénomène irréversible : plusieurs études montrent en effet que les personnes qui présentent des désordres du métabolisme du glucose peuvent renverser la situation par de simples modifications à leur mode de vie.

Quels gestes adopter ?

  • Éviter de baser son alimentation uniquement sur les sucres simples.
  • Adopter une alimentation riche en magnésium, en anti-oxydants, en bonnes sources d’acides gras (pour lutter contre l’inflammation), varier les légumes et consommer suffisamment de fibres.

Les glucides à favoriser : fruits secs, fruits frais, légumes sucrés, légumes farineux, céréales, légumineuses, …

 

Les sucres : le rapadura, le miel, le sirop d’érable, le sucre de coco, …

 

Les glucides à éviter : la surconsommation de céréales raffinées et non trempées, les sucres transformés, sucre blanc raffiné, sucre de glucose (attention danger), …

Découvrez notre sélection

 

L’approche intégrative se basera sur une vision globale en travaillant à la fois avec des plantes qui contribuent à réguler le métabolisme des glucides, des oligo-éléments et un apport équilibré de bonnes sources de graisses – qui manque cruellement à notre alimentation moderne occidentale.

Accompagnement glucidique

Petit plus :

Zoom sur le mûrier blanc, l’ingrédient secret du RESVERA SUCRES :

 

L’extrait du mûrier blanc contribue à maintenir l’équilibre du métabolisme glucidique de l’organisme. Il est de plus en plus plébiscité pour ses propriétés pharmacologiques :

  • Hypoglycémiant
  • Haut potentiel antioxydant
  • Antimicrobien
  • Anti-hyperlipidémique, antihypertenseur
  • Neuroprotecteur
  • Immunomodulant
  • Hépato protecteur
  • Antistress

Le saviez-vous ?

Pour diminuer le temps d’absorption d’un glucide, misez sur un couple « gagnant ».

 

Par exemple consommer un sucre avec une bonne source de graisses, de fibres et/ou d’oléagineux, cela va ralentir le temps d’absorption du sucre !

 

Bon, pour le Nutella, chocolat + huile + noisette… c’est un bon combo nous diriez-vous ! … Mais non, cela ne fonctionne qu’avec des aliments de bonnes qualités nutritives 😊


 

Les suggestions évoquées sont indiquées à titre préventif pour leur action adaptative et immunitaire.

Il est important de collaborer avec le médecin traitant.