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La Journée mondiale de l’eau a lieu chaque année le 22 mars afin d’attirer l’attention sur l’importance de l’eau douce et de plaider pour la gestion durable de cette ressource naturelle si précieuse.

 

C’est un fait, l’eau est un élément indispensable à la vie. Mais quel est son rôle exactement et quels types de recommandations devrions-nous envisager ?

 

Tentons d’éclaircir ce sujet parfois controversé.

Le rôle de l’eau

L’eau est le principal composant du corps : une femme est faite environ de 60% d’eau, quand un homme est plutôt aux environ de 70%. Donc un adulte qui pèse 70 kg est composé d’environ 45 litres d’eau.

 

L’eau joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions vitales, telles que le transport d’oxygène et de nutriments vers les cellules, l’élimination des déchets, l’irrigation des tissus et le maintien de l’équilibre thermique.

 

Au niveau cellulaire, l’eau contribue à la structuration interne des cellules et participe aux réactions chimiques de notre organisme.

 

L’eau est donc absolument indispensable au bon fonctionnement de l’organisme et un apport hydrique insuffisant entraîne le dysfonctionnement de nombreux organes.

Notre corps évacue en moyenne 2,5 litres d’eau par jour à travers nos émonctoires (foie, intestins, poumons, peau) principalement sous la forme d’urines, de selles, de transpiration et de gaz carbonique.

Il est donc important de s’hydrater en continu tout au long de la journée afin de compenser les pertes en eau.

 

L’eau qui circule entre les cellules forme le liquide interstitiel dans lequel les cellules puisent leurs nutriments et évacuent leurs déchets.

Ce circuit permanent de nutrition, d’échange, de mouvement des substances nécessaires à l’organisme et d’évacuation des déchets peut être comparé à la circulation continue de la sève dans les végétaux.

L’eau passe sans cesse des vaisseaux sanguins jusqu’aux espaces entre les cellules et retourne au sang via les canaux lymphatiques. Elle entre et sort des cellules.
Il existe donc un flux continu à travers les membranes des cellules.

« L’eau est surtout intéressante pour ce qu’elle emporte et non pour ce qu’elle apporte »

Selon l’approche naturopathique, c’est un concept bien connu : l’eau a une double fonction, celle de l’hydratation mais aussi celle de transport.

Ce qui veut dire qu’on ne cherche pas vraiment à apporter des minéraux et oligo-éléments à l’organisme par la consommation d’eau.

 

On attend de l’eau qu’elle soit pure et, justement, pas trop chargée en sels de toutes sortes.

 

Pourquoi ? Les minéraux et les oligo-éléments contenus dans l’eau sont inorganiques, dans le sens où ils n’ont pas transité par un végétal… Ce paramètre influe sur leur biodisponibilité, c’est à dire la capacité qu’aura l’organisme à les absorber pour les faire siens.

 

En naturopathie, il est donc conseillé de boire une eau faiblement minéralisée avec un taux de résidus à sec de 50 mg/litre (exemple : l’eau Mont Roucou, Montcalm ou encore l’eau de Spa).

 

Une eau parfaite réunira 4 critères :

  • résistivité supérieure à 6000 ohms
  • pH entre 6 et 7
  • rH² inférieur à 28 (entre 21 et 28 précisément)
  • taux de résidus secs inférieur à 50 mg/l

 

L’acidité de l’eau (le pH) ou, au contraire, son alcalinité agit sur les sécrétions digestives et donc sur notre microbiote intestinal.

Si notre eau est trop alcaline au quotidien, il y aura un déséquilibre entre les sécrétions de l’estomac, du pancréas et des intestins, favorisant la fermentation digestive et donc des possibles ballonnements.

L’eau du robinet

L’eau du robinet est traitée pour être bactériologiquement pure, mais cela ne signifie pas qu’elle soit totalement propre à la consommation.

 

L’assainissement de l’eau n’a pas été prévu pour traiter tous les résidus qui peuvent s’y trouver.

 

Pour finir, dans l’eau du robinet se retrouvent des résidus des pollutions modernes : engrais, pesticides, résidus de médicaments, xénobiotiques (perturbateurs endocriniens), …

 

L’eau du robinet peut contenir de nombreuses substances qui ne sont pas filtrées par les stations d’épuration.

 

Il semble également que de plus en plus de particules de plastique se retrouvent dans les approvisionnements en eau du robinet à travers le monde.

 

Aujourd’hui, de nombreuses stations d’épuration cherchent à résoudre, ou tout du moins à améliorer, ce problème en utilisant la phytoépuration qui consiste à faire passer l’eau à a sortie du centre d’épuration par la succession de bassins qui contiennent des plantes “épuratrices de déchets”, dont le réseau de racines permet de casser les molécules chimiques qui voudraient passer. Les résultats sont extrêmement prometteurs mais, à ce jour, ces bassins sont trop peu présents.

L’eau en bouteille

L’eau en bouteille a ses limites aussi. Le contenant en plastique y est pour beaucoup.
D’un point de vue écologique : nous le savons tous, la bouteille de plastique est une catastrophe …

 

Entre écologie et choix pour votre bien être, ce n’est pas toujours simple de se résoudre à boire de l’eau en bouteille vu les déchets que cela entraine. L’emballage plastique d’une bouteille d’eau est très consommateur de ressources (électricité, pétrole, …) et son recyclage est bien plus complexe que l’on ne pense puisqu’il faudra produire du plastique pour recycler le plastique de bouteille… Ce n’est pas un cercle vertueux.

 

De plus, le plastique des bouteilles relarguent dans l’eau des phtalates, des formaldéhydes, acétaldéhyde qui sont tous de forts perturbateurs endocriniens.
Une pollution de l’eau qui s’avère être différente que celle de l’eau du robinet mais qui n’a rien de mieux pour autant. Surtout quand on sait que les bouteilles d’eau peuvent être stockées de long moment dans des entrepôts en plein soleil …

 

Dans tous les cas, des inconvénients non négligeables sont à prendre en compte, qu’ils soient écologiques ou concernant la santé.

1er constat : il n’y a aucune solution réellement parfaite….

Les carafes

Elles limitent le chlore et le calcaire mais n’ont pas d’action sur les polluants chimiques. De plus, les filtres de ces carafes peuvent dégénérer en nid à bactéries indésirables.

 

C’est la solution basique pour filtrer son eau à la maison, avec en tête d’affiche la fameuse carafe « Brita © ». Via une cartouche amovible filtrante, elles atténuent le goût de chlore, éliminent le calcaire. Leur performance de filtration (volume et élimination des résidus indésirables) est cependant relativement modeste.

 

De plus, elles nécessitent une extrême vigilance quant au changement des filtres, sous peine de délivrer une eau dégradée.

L’osmose inverse

Elle fait beaucoup parler d’elle et semble devenir la Rolls-Royce de la filtration.
Avec l’osmose inverse, vous éliminez tous les résidus indésirables … mais aussi tous les minéraux.

 

Certains détracteurs avanceront qu’il s’agit d’une « eau morte ». Ce n’est pas faux, mais il semble important de souligner que la plupart de ces systèmes d’osmose inverse intègrent un système de redynamisation de l’eau (double Vortex par exemple) et un système de reminéralisation de l’eau (à base de Lithotamne par exemple).

 

On a donc, à la sortie, une eau dynamisée et faiblement minéralisée, aux alentours de 40 mg/l, ce qui semble acceptable.

 

On obtient une eau de haute qualité mais, avec comme revers de la médaille, un bémol écologique (rejet de 3 à 4 litre d’eau pour un litre d’eau osmosée) et surtout un investissement non négligeable (jusqu’à 1500 euros) assorti d’un coût de maintenance d’environ 200 euros par an.

 

A noter que cette eau peut tout à fait convenir pour une personne avec une alimentation suffisamment riche en minéraux pour combler ses besoins quotidiens.

 

Elle sera cependant à éviter pour des enfants qui traversent des périodes de refus alimentaires ou pour une alimentation (qu’elle soit végétarienne ou omnivore) qui n’est pas variée et pauvre en minéraux.

Les systèmes intermédiaires

Il s’agit là essentiellement de bonbonnes filtrantes, plus performantes que les carafes filtrantes mais moins puissantes que les systèmes à osmose inverse.

 

C’est, a priori, un bon compromis avec un rapport qualité/prix relativement satisfaisant.

 

Citons par exemple les bonbonnes filtrantes de type Berkey© ou encore les filtres à gravité de la marque Doulton©.

Concrètement, quelle est la meilleure solution ?

Tout dépendra de votre budget, de votre hygiène de vie, votre alimentation, vos besoins. Finalement, c’est aussi un principe de base en phytonaturopathie : il n’existe pas une solution pour tous.

  • Si vous privilégiez l’eau osmosée, soignez bien vos apports en minéraux et pensez à redynamiser votre eau.
  • Si ce n’est pas le cas, utilisez une carafe filtrante en tenant bien compte des précautions d’emploi.
  • Vous pouvez aussi opter pour une « bonbonne filtrante » qui semble un bon compromis.
  • Et si vous penchez pour l’eau en bouteille veillez à ce qu’elle soit peu chargée (un taux de résidus secs inférieur à 50 mg/l).

Redynamiser l’eau

Redynamiser l’eau signifie lui redonner vie “énergétiquement” par divers moyens comme : des intentions, des couleurs, les ondes de forme, vitaliser l’eau par vortex, la fleur de vie, …

 

Il est vrai que l’eau présente dans la nature ou dans notre corps ne stagne pas.

 

La dynamisation est un procédé d’activation de l’eau qui reproduit les mouvements que l’eau suit dans la nature.
Des mouvements en forme de vortex (spirales, tourbillons), d’accélérations et décélérations, tout en étant exposée à des champs magnétiques (la terre étant finalement une grande magnétosphère).

Méthode Roland Plocher

La méthode Plocher en est un très bon exemple.

 

Il s’agit de la méthode utilisée par les Laboratoires HERBOLISTIQUE afin de redynamiser nos solutions liquides.

 

  • Ce procédé, mis au point par Roland Plocher depuis plus de 20 ans, rétablit et optimise la qualité de l’eau. Ce procédé permet de conserver tous les éléments minéraux de l’eau, de réduire les métaux lourds, polluants et germes.
  • Résultat ? Cette eau vitalisée, dite biocompatible, permet de mieux véhiculer les constituants actifs des plantes jusqu’aux cellules de l’organisme.
    Cette eau vitalisée renforce l’efficacité de l’élimination des toxines de l’organisme, accélère les échanges intercellulaires et réhydrate les tissus.

Les suggestions évoquées sont indiquées à titre préventif pour leur action adaptative et immunitaire.

Il est important de collaborer avec le médecin traitant.